Vendredi 22 août 2008 à 18:21
Une fois la porte refermée, il comprit que le cauchemar était enfin terminé, et que sa vie ne serait plus jamais la même…
Ce jeudi matin, comme tous les jeudis matin depuis 12 ans, Gabin se levai tôt, avec pour seul horizon la mer. Les nuits se succédaient, ainsi que les jours, sans qu'aucun ne ressemblât à l'autre, malgré une monotonie singulière.
Vendredi 8 août 2008 à 13:52
L'image de fin fût la même que l'image de début, le regard en plus. Un regard d'une profondeur que seul l'amour peut sonder. Un amour entier, intact, sacrifié, profond, à l'instar de ce regard, qui m'effleurera les jours de grand' peine...
Ce regard,
comme un miroir,
dans lesquele je semblais
plus que ce que je n'étais!
Vendredi 8 août 2008 à 13:34
Un objet mon appareil photo
Une nouveauté des vacances aussi chargées
Un événement la naissance de Nathan et Rubén
Une personne Jeannot, peut-être?!
Un souvenir tous ces lieux découverts avec passion et curiosité
Un lieu le coudert de Fontannes-du Causse (!)
Une envie découvrir le monde
Un regret ne pas avoir profiter de mon chez-moi
Un sentiment l'euphorie
Un objectif trouver le paradis (c'est pas un peu ambitieux, ça?!)
Un regard celui de Kroko, à travers lequel je vois le monde comme j'en rêve...
Un pourquoi on veut toujours ce qu'on n'a pas?
Jeudi 7 août 2008 à 13:06
1er Juillet 1903, 15h16, "région parisienne" : le monde s'aprête à changer de face, le Tour de France se lance dans sa grande et belle aventure...
"Même les queues de peloton sont des queus de comète pour ceux qui ont la passion intacte du vélo"
"Comme si la vocation première de la bicyclette était d'arrondir les angles du monde"
"Le vélo est un jeu d'enfant qui dure trop longtemps"
"Rouler à bicyclette est surement la meilleure façon de devenir un autre"
"Le vélo est un mode d'écriture de l'existence"
[ Petit éloge de la bicyclette, Eric Fottorino]
"L'amour c'est comme le Tour de France : on l'attend longtemps et il passe vite!"
Jeudi 7 août 2008 à 12:55
IL Y AVAIT
PASSE TRENTE
ANS, TRENTE ANS
A Y GAGNER
SA VIE, TRENTE
ANS A Y
PERDRE SA
DIGNITE
. . .